


Les dangers invisibles des écrans pour les tout-petits
À première vue, les écrans peuvent sembler inoffensifs, voire pratiques pour occuper un jeune enfant quelques minutes. Dessins animés colorés, applications éducatives, comptines interactives… L'offre est vaste, séduisante, et souvent présentée comme "bénéfique". Pourtant, derrière cette image se cachent des dangers invisibles mais bien réels, surtout chez les tout-petits, dont le cerveau est en plein développement.
🧠 Un cerveau en construction, ultra-sensible aux stimulations
Chez les enfants de 0 à 3 ans, le cerveau est en pleine maturation. Il a besoin d’expériences sensorielles concrètes : toucher, manipuler, explorer, interagir. Or, l’exposition précoce aux écrans propose une stimulation visuelle et auditive rapide, souvent déconnectée du réel. Cela peut court-circuiter des étapes essentielles du développement, notamment :
Le développement du langage
La capacité de concentration
Les compétences sociales
Selon les neuroscientifiques, plus un enfant est exposé tôt aux écrans, plus les connexions cérébrales naturelles risquent d’être perturbées ou insuffisamment consolidées.
🗣️ Un impact silencieux sur le langage et la relation
Le développement du langage repose sur l’interaction humaine : les regards, les échanges, les jeux de mimiques, les réponses adaptées à ce que dit ou montre l’enfant. Les écrans, même interactifs, ne peuvent pas remplacer ces interactions vivantes.
➡️ Des études ont montré que les enfants surexposés aux écrans ont souvent un retard de langage ou des difficultés à s’exprimer clairement.
➡️ Les tout-petits peuvent aussi développer une forme de retrait social, car ils sont moins habitués à décoder les émotions, les expressions ou à gérer les échanges en face-à-face.
😴 Troubles du sommeil et agitation
Autre effet souvent sous-estimé : l’impact sur le sommeil. La lumière bleue émise par les écrans perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. Résultat : endormissements plus difficiles, nuits agitées, réveils précoces.
Par ailleurs, des enfants exposés régulièrement aux écrans peuvent présenter :
Une agitation inhabituelle
Des colères inexpliquées
Une baisse de tolérance à la frustration
Ces réactions sont parfois interprétées à tort comme des "troubles du comportement", alors qu’il s’agit souvent de surcharges sensorielles liées à l’usage d’écrans.
👀 Des habitudes qui s’installent… très tôt
Ce qui commence comme un "petit dessin animé pendant le petit-déjeuner" peut rapidement devenir un rituel difficile à interrompre. Or, plus l’habitude est ancrée tôt, plus il sera difficile de revenir en arrière. Il est donc essentiel d’établir des repères clairs dès le départ.
✅ Que faire à la place ?
Heureusement, il existe de nombreuses alternatives aux écrans, même pour les tout-petits :
Lire ou raconter des histoires
Chanter ensemble
Explorer des jeux sensoriels (eau, pâte à modeler, sable)
Observer la nature
Passer du temps sans stimulation excessive, juste dans le calme
Le plus important : être présent, même quelques minutes, et favoriser les interactions humaines authentiques.
💡 À retenir
Les écrans ne sont pas “le mal absolu”, mais leur usage doit être strictement encadré chez les jeunes enfants. Les dangers ne sont pas toujours visibles immédiatement, mais leurs effets sur le développement peuvent être profonds et durables. Prévenir, c’est protéger.

Santé et hygiène : le sommeil et son impact sur la santé des tout-petits
Le sommeil et son impact sur la santé des tout-petits : conseils aux parents
Le sommeil joue un rôle essentiel dans le développement et le bien-être des jeunes enfants. En tant que professionnelle de la petite enfance, j’observe chaque jour combien un sommeil de qualité influence l’humeur, l’apprentissage et la santé des tout-petits. Pourtant, de nombreux parents s’interrogent sur la quantité de sommeil nécessaire et sur les bonnes habitudes à instaurer. Cet article vous aidera à mieux comprendre l’importance du sommeil et à adopter des pratiques favorisant des nuits paisibles.
1. Pourquoi le sommeil est-il crucial pour les tout-petits ?
🔹 Un rôle clé dans la croissance : Pendant le sommeil, l’organisme produit des hormones essentielles à la croissance et au développement cérébral.
🔹 Un renforcement du système immunitaire : Un sommeil suffisant aide à mieux lutter contre les infections et favorise une bonne santé globale.
🔹 Un impact sur l’apprentissage et la mémoire : Un enfant bien reposé assimile mieux les nouvelles informations et développe ses capacités cognitives.
🔹 Un meilleur équilibre émotionnel : Le manque de sommeil peut entraîner des pleurs fréquents, de l’irritabilité et des difficultés à gérer les émotions.
2. Combien d’heures de sommeil selon l’âge ?
• 0 à 3 mois : 14 à 17 heures par jour (sommeil fragmenté en plusieurs cycles)
• 4 à 11 mois : 12 à 16 heures par jour, incluant les siestes
• 1 à 2 ans : 11 à 14 heures par jour
• 3 à 5 ans : 10 à 13 heures par jour
Chaque enfant est unique, mais ces recommandations donnent un repère important pour assurer un repos suffisant.
3. Instaurer une routine du coucher efficace
✅ Un rituel apaisant : Lire une histoire, chanter une berceuse, faire un câlin… des gestes simples qui sécurisent l’enfant.
✅ Des horaires réguliers : Couchez votre enfant à la même heure chaque soir pour réguler son horloge biologique.
✅ Un environnement propice : Une chambre calme, une lumière tamisée et une température agréable favorisent un bon sommeil.
✅ Éviter les écrans avant le coucher : La lumière bleue des écrans perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil.
✅ Adapter les siestes : Une sieste trop tardive peut retarder l’endormissement le soir.
4. Que faire en cas de troubles du sommeil ?
Si votre enfant présente des réveils fréquents, des difficultés à s’endormir ou des cauchemars, voici quelques conseils :
Identifier les causes : Poussées dentaires, angoisse de séparation, excitation excessive avant le coucher…
Rassurer.
Consulter un professionnel si besoin : En cas d’insomnies persistantes ou de troubles du sommeil marqués, un avis médical peut être nécessaire.
Un bon sommeil est un pilier essentiel du développement des tout-petits. En tant que parents, instaurer des routines adaptées et respecter les besoins en sommeil de votre enfant vous aidera à favoriser son bien-être et sa santé. Avec patience et régularité, chaque nuit devient une belle occasion de grandir en douceur !

Les petits maux de la crèche
Les petits maux de la crèche : Comment prévenir les maladies en collectivité ?
Introduction
Les crèches sont des lieux d’éveil et de socialisation essentiels pour les tout-petits. Toutefois, la vie en collectivité favorise aussi la propagation de certains virus et bactéries. Rhumes, gastro-entérites, bronchiolites… Autant de petits maux qui peuvent rapidement se transmettre entre enfants et adultes. Comment les prévenir efficacement ? Cet article, destiné aux parents et au personnel de crèche, propose un tour d’horizon des maladies les plus courantes et des bonnes pratiques pour limiter leur propagation.
- Les maladies les plus courantes en crèche
🔹 Le rhume : Infection virale bénigne mais fréquente, le rhume se transmet par les éternuements, la toux et le contact avec des surfaces contaminées.
🔹 La bronchiolite : Maladie respiratoire fréquente chez les nourrissons, causée par le virus respiratoire syncytial (VRS). Elle se manifeste par une toux et une gêne respiratoire.
🔹 La gastro-entérite : Très contagieuse, elle provoque diarrhées et vomissements. Elle se transmet principalement par contact avec des mains ou objets contaminés.
🔹 La varicelle : Infection virale caractérisée par des boutons rouges et des démangeaisons. Elle se propage par voie aérienne et par contact direct.
🔹 La conjonctivite : Infection de l’œil pouvant être d’origine virale ou bactérienne, elle se manifeste par des rougeurs et des écoulements.
- Bonnes pratiques pour limiter la propagation des maladies
✅ L’hygiène des mains : Un lavage des mains régulier et efficace est essentiel pour limiter la transmission des microbes. Utiliser du savon et de l’eau pendant au moins 30 secondes, particulièrement après les soins, avant les repas et après un passage aux toilettes.
✅ L’hygiène des espaces et des jouets : Le nettoyage et la désinfection réguliers des surfaces, des jouets et du matériel de puériculture réduisent le risque de contamination.
✅ Aération des locaux : Renouveler l’air des pièces plusieurs fois par jour permet de réduire la concentration de virus et bactéries en suspension.
✅ Encourager les gestes barrières : Apprendre aux enfants à éternuer ou tousser dans leur coude, à ne pas mettre les objets à la bouche et à utiliser des mouchoirs jetables.
✅ Consulter chez le médecin traitant de l’enfant : Si un enfant présente des symptômes (fièvre, vomissements, éruptions cutanées suspectes…), il est préférable de consulter tout de suite chez le médecin.
✅ Informer et sensibiliser : Parents et professionnels doivent être informés des symptômes des maladies courantes et des mesures à adopter en cas de doute.
Conclusion
Prévenir les maladies en crèche repose sur une bonne hygiène, une sensibilisation des enfants et une vigilance accrue du personnel et des parents. En appliquant ces règles simples au quotidien, il est possible de limiter significativement la transmission des infections et de garantir un environnement plus sain et sécurisé pour les tout-petits.

Lien Parent / Enfant
Comment renforcer l'attachement ?
Le lien d’attachement entre un parent et son enfant est un élément fondamental du développement affectif et émotionnel. Il se construit dès la naissance et influence la sécurité intérieure, la confiance en soi et la capacité à interagir avec le monde. Inspirée par les principes de la pédagogie de l’enfant, une relation d’attachement solide repose sur des interactions bienveillantes et adaptées au rythme du nourrisson.
Comprendre l’Attachement
La théorie de l’attachement, développée par John Bowlby, met en évidence l’importance des premiers liens affectifs dans le développement de l’enfant. Un attachement sécurisant permet à l’enfant d’explorer son environnement en toute confiance, sachant qu’il peut compter sur la présence et le soutien de ses figures parentales.
Favoriser un Lien Sécurisant
- Répondre aux besoins avec bienveillance : Un parent attentif et réactif aux signaux de son enfant lui offre un cadre rassurant qui nourrit son sentiment de sécurité.
- Encourager le contact physique : Les câlins, le peau à peau et les massages renforcent l’attachement et procurent une sensation de bien-être à l’enfant.
- Établir des rituels quotidiens : Des moments partagés, comme les repas, la lecture ou les chansons, renforcent la connexion affective et créent un environnement prévisible et apaisant.
- Favoriser une communication bienveillante : Parler, écouter et répondre aux émotions de l’enfant lui permet de se sentir compris et valorisé.
- Laisser place à l’autonomie : Inspirée des pédagogies Montessori et Pikler, l’autonomie progressive aide l’enfant à gagner en confiance tout en restant attaché à ses figures de référence.
L'importance du Jeu et de l’Interaction
Le jeu est un outil puissant pour renforcer l’attachement parent/enfant. Les activités ludiques, les jeux d’imitation et les interactions joyeuses permettent de créer un lien fort basé sur le plaisir et la complicité. Prendre le temps de jouer ensemble sans distraction favorise une connexion authentique.
Conclusion
Un attachement sécurisé se construit à travers la présence, la bienveillance et l’adaptabilité du parent aux besoins de son enfant. En appliquant les principes de la pédagogie respectueuse, chaque parent peut nourrir un lien fort et harmonieux avec son enfant, lui offrant ainsi des bases solides pour son développement émotionnel et social.

L’importance des premières années
Le développement de l'enfant
Les Premières Années de l'Enfant : Une Période Déterminante pour son Développement
Les premières années de la vie d’un enfant constituent une période essentielle où se construisent les bases de son développement global. C’est durant cette phase que l’enfant acquiert ses premières compétences motrices, cognitives, sociales et émotionnelles, dans un cadre qui doit être stimulant et bienveillant.
Un Développement Cognitif en Pleine Expansion
Le cerveau de l’enfant connaît une croissance spectaculaire durant les premières années, favorisant l’émergence des fonctions exécutives telles que la mémoire, l’attention et la capacité de résolution de problèmes. La pédagogie active encourage l’exploration et l’apprentissage par le jeu, permettant à l’enfant d’intégrer progressivement des notions fondamentales par le biais d’expériences sensorielles et interactives.
L’Importance de la Sécurité Affective
La théorie de l’attachement, développée par John Bowlby, met en évidence l’impact des relations précoces sur le développement de l’enfant. Un environnement sécurisant et bienveillant, où l’adulte est disponible et réactif aux besoins de l’enfant, favorise un attachement sécure, essentiel pour son bien-être émotionnel et sa confiance en lui.
L’Apprentissage par l’Expérience
Inspirée des pédagogies Montessori, Reggio Emilia ou encore Pikler, l’éducation bienveillante encourage l’autonomie de l’enfant en lui permettant d’expérimenter et d’explorer librement son environnement. Manipuler, observer et interagir avec son entourage sont des éléments clés pour développer ses compétences et son esprit critique.
La Socialisation et le Langage
Les premières interactions sociales jouent un rôle crucial dans l’apprentissage du langage et des compétences relationnelles. Les échanges avec les adultes et les pairs permettent de structurer la communication verbale et non verbale, tout en favorisant l’émergence de compétences socio-émotionnelles indispensables à la vie en collectivité.
Un Enjeu Majeur pour l’Avenir
Les recherches en neurosciences montrent que les expériences vécues dans la petite enfance influencent le développement futur de l’individu. Une stimulation adaptée et bien dosée contribue à poser les fondations d’un apprentissage harmonieux et d’un épanouissement personnel optimal. Il est donc primordial d’offrir aux jeunes enfants un environnement riche, sécurisant et propice à leur épanouissement. Parents, éducateurs et professionnels de la petite enfance ont un rôle clé à jouer dans cet accompagnement, en veillant à respecter le rythme et les besoins de chaque enfant pour favoriser un développement équilibré et serein.


L’égalité entre les filles et les garçons
Selon l'article L. 214-1-1 du code de l'action sociale et des familles, les établissements d’accueil de jeune doivent préciser les dispositions prises pour assurer l'accueil, le soin, le développement, le bien-être et l'éveil des enfants, notamment en matière artistique et culturelle, et pour favoriser l'égalité entre les filles et les garçons .
C’est un enjeu important pour réduire les stéréotypes de genre et favoriser des pratiques d'accueil plus égalitaire. Si l’on prend en compte que la construction d’une politique publique d’égalité entre les filles et les garçons dès la naissance peut offrir une évolution possible et que des leviers d’actions sont repérables.
Dans le rapport de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) publiée en 2012, Anne DAFLON NOVELE, docteur en psychologie, souligne qu’il y a trois étapes de cette construction identitaire :
- 1. Les enfants de deux ans environ sont capables d’indiquer le sexe des individus qu’ils rencontrent en se fondant sur ces caractéristiques socio-culturelles comme la coiffure ou le vêtement.
2.Vers trois, quatre ans durant le stade appelé « stabilité de genre » les enfants comprennent que le sexe est une donnée stable au cours du temps et que les filles deviendront des femmes.
3.Enfin, vers cinq, sept ans, ils acquièrent ce qui est appelé « la constance de genre » et intègrent l’idée que le sexe est une donnée biologique stable, à la fois au cours du temps et indépendamment des situations.
Il est vrai que les adultes projettent sur les enfants leurs propres systèmes de représentation qui fait écho à leur éducation et à leur culture, donc chacun réagit de manière différente. Les adultes peuvent aussi méconnaitre les motivations des enfants tant qu’ils projettent leurs propres stéréotypes sur leur comportement. Dans ce rapport de l’IGAS, on cite en exemple un professionnel dans une crèche qui dit à un petit garçon qui joue avec une poussette de poupée « alors tu joues à la maman » et l’enfant lui répond « non je joue au papa ».
En effet, proposer des jouets différenciés aux enfants ne favorise pas des rapports égalitaires auprès des jeunes enfants, car les jouets ne sont pas neutres.
Si les jeux symboliques sont facilitateurs d’imaginaires, ils constituent également l’un des moyens privilégier de l’enfant pour rentrer en contact avec le monde qui l’entoure. Jouer à faire semblant, seront mis en scène par tous les enfants. Même si le coin poupée peut faire appel à un univers domestique plutôt féminin en crèche, les petits garçons comme les filles utilisent le coin de jeux symboliques.
Ainsi l’enfant va intégrer à travers le regard du professionnel l’identification d’un profil « genré » Il est important de veiller à s’adresser aux enfants avec des paroles égalitaires en trouvant le mot juste par exemple complimenter les garçons sur leurs tenues autant que les filles. Il s’agira pour les professionnels dans la relation avec les enfants d’éviter les injonctions du type : « ne pleure pas comme une fille ».
Alors qu’il est aussi important d’accueillir les pleurs du petit garçon pour lui permettre d’apprendre à exprimer ses émotions.
En effet, proposer des jouets différenciés ne favorise pas des rapports égalitaires auprès des jeunes enfants, car les jouets ne sont pas neutres. Les enfants ne naissent pas avec des stéréotypes de genre, ils s’imprègnent du comportement des adultes qui les entourent.
La mise en place des ateliers de soutien à la parentalité offre l’opportunité de créer un espace de réflexion avec les parents sur le sujet des stéréotypes pour les sensibiliser sans jugement.
Pour L’équipe
Isabelle JEAN-MARIE
Directrice Multi-accueil Crèch'endo Pointe-Simon


Le sommeil de bébé : conseils pour des nuits paisibles
Le sommeil de bébé : conseils pour des nuits paisibles
Le sommeil de bébé est une préoccupation majeure pour les parents, car des nuits agitées peuvent être épuisantes pour toute la famille. Cependant, il est important de comprendre que chaque bébé est différent et qu’il n’y a pas de solution miracle pour garantir un sommeil paisible. Voici quelques conseils qui pourraient aider :
- Créer une routine de sommeil : un rituel avant de dormir peut aider bébé à se calmer et à se préparer pour la nuit. Cela peut inclure un bain, une histoire ou une chanson.
- Établir un horaire régulier : essayer de mettre bébé au lit à la même heure tous les soirs peut aider à réguler son horloge biologique.
- Créer un environnement de sommeil apaisant : une chambre sombre, silencieuse et à une température confortable peut aider bébé à se sentir détendu.
- Considérer les besoins individuels de bébé : certains bébés ont besoin de plus de stimulation avant de dormir, tandis que d’autres ont besoin de plus de calme. Observer les signaux de bébé peut aider à comprendre ses besoins.
- Être patient : le sommeil de bébé peut être imprévisible et il peut y avoir des hauts et des bas. Il est important de rester calme et patient, même dans les moments difficiles.
Il est également important de prendre en compte les points suivants pour assurer des nuits paisibles à votre bébé :
- Éviter les siestes trop longues pendant la journée, car cela peut perturber le sommeil de nuit.
- Évitez de nourrir votre bébé juste avant de le mettre au lit, car cela peut causer des problèmes de digestion et perturber le sommeil.
- Attendre quelques minutes avant d’intervenir si votre bébé se réveille souvent la nuit. Il se peut qu’il se rendorme tout seul.
- Si votre bébé a des problèmes de reflux, essayez de le mettre sur le dos en position inclinée pour dormir.
- Si votre bébé a des difficultés à s’endormir seul, essayez de le bercer doucement ou de lui donner une tétine pour l’aider à se calmer.
En fin de compte, le sommeil de bébé est un processus naturel qui se développe avec le temps. En offrant un environnement de sommeil apaisant et en répondant aux besoins individuels de bébé, les parents peuvent aider à favoriser des nuits paisibles pour toute la famille.
Le sommeil de bébé : conseils pour des nuits paisibles
Le sommeil de bébé est une préoccupation majeure pour les parents, car des nuits agitées peuvent être épuisantes pour toute la famille. Cependant, il est important de comprendre que chaque bébé est différent et qu’il n’y a pas de solution miracle pour garantir un sommeil paisible. Nous vous encourageons à essayer plusieurs méthodes pouvant affecter positivement le sommeil de votre enfant et votre vie de famille.
- Créer une routine de sommeil : un rituel avant de dormir peut aider bébé à se calmer et à se préparer pour la nuit. Cela peut inclure un bain, une histoire ou une chanson.
- Établir un horaire régulier : essayer de mettre bébé au lit à la même heure tous les soirs peut aider à réguler son horloge biologique.
- Créer un environnement de sommeil paisible : une chambre sombre, silencieuse et à une température confortable peut aider bébé à se sentir détendu.
- Considérer les besoins individuels de bébé : certains bébés ont besoin de plus de stimulation avant de dormir, tandis que d’autres ont besoin de plus de calme. Observer les signaux de bébé peut aider à comprendre ses besoins.
- Être patient : le sommeil de bébé peut être imprévisible et il peut y avoir des hauts et des bas. Il est important de rester calme et patient, même dans les moments difficiles.
Il est également important de prendre en compte les points suivants pour assurer des nuits paisibles à votre bébé :
- Éviter les siestes trop longues pendant la journée, car cela peut perturber le sommeil de nuit.
- Évitez de nourrir votre bébé juste avant de le mettre au lit, car cela peut causer des problèmes de digestion et perturber le sommeil.
- Attendre quelques minutes avant d’intervenir si votre bébé se réveille souvent la nuit. Il se peut qu’il se rendorme tout seul.
- Si votre bébé a des problèmes de reflux, essayez de le mettre sur le dos en position inclinée pour dormir.
- Si votre bébé a des difficultés à s’endormir seul, essayez de le bercer doucement ou de lui donner une tétine pour l’aider à se calmer.
En fin de compte, le sommeil de bébé est un processus naturel qui se développe avec le temps. En offrant un environnement de sommeil apaisant et en répondant aux besoins individuels de bébé, les parents peuvent aider à favoriser des nuits paisibles pour toute la famille.